Webinaire
Animée par Michel Delbrouck
17 mai 2021 de 18h30 à 20h
Michel Delbrouck est médecin, psychothérapeute humaniste, directeur de l’Institut de Formation et de Thérapie pour soignants à Bruxelles, membre affilié de l’Institut International de Psychanalyse et de Psychothérapie à Genève.
Le terme « dépression » est très vague et recouvre une série de formes cliniques et de causes étiologiques diverses. Au clinicien de diagnostiquer et d’affiner ses perceptions cliniques afin d’en déterminer la gravité, la dangerosité et les causes réelles qui ont amené le patient à en arriver là. Dans certains cas, le passage d’une régression pathologique peut mener au suicide et à l’état dépressif majeur. En plus de la symptomatologie habituelle, le thérapeute veillera à être attentif aux manifestations des troubles du sommeil, difficultés d’endormissement, réveils nocturnes et réveils précoces comme éléments capitaux présents dans l’état dépressif majeur. Les somnifères ne sont donc pas le traitement ! Habituellement, la dépression majeure consiste en un ou plusieurs épisodes dépressifs importants qui tranchent avec le fonctionnement habituel de la personne, alors que la dysthymie est caractérisée par des symptômes dépressifs chroniques, moins sévères, persistant pendant plusieurs années. Cette affection pourrait parfois masquer le syndrome d’épuisement professionnel. Nous revisiterons ensemble comment une prise en charge longue et sérieuse pourra aider nos patients.
17 mai 2021 de 18h30 à 20h
Michel Delbrouck est médecin, psychothérapeute humaniste, directeur de l’Institut de Formation et de Thérapie pour soignants à Bruxelles, membre affilié de l’Institut International de Psychanalyse et de Psychothérapie à Genève.
Le terme « dépression » est très vague et recouvre une série de formes cliniques et de causes étiologiques diverses. Au clinicien de diagnostiquer et d’affiner ses perceptions cliniques afin d’en déterminer la gravité, la dangerosité et les causes réelles qui ont amené le patient à en arriver là. Dans certains cas, le passage d’une régression pathologique peut mener au suicide et à l’état dépressif majeur. En plus de la symptomatologie habituelle, le thérapeute veillera à être attentif aux manifestations des troubles du sommeil, difficultés d’endormissement, réveils nocturnes et réveils précoces comme éléments capitaux présents dans l’état dépressif majeur. Les somnifères ne sont donc pas le traitement ! Habituellement, la dépression majeure consiste en un ou plusieurs épisodes dépressifs importants qui tranchent avec le fonctionnement habituel de la personne, alors que la dysthymie est caractérisée par des symptômes dépressifs chroniques, moins sévères, persistant pendant plusieurs années. Cette affection pourrait parfois masquer le syndrome d’épuisement professionnel. Nous revisiterons ensemble comment une prise en charge longue et sérieuse pourra aider nos patients.